Feuille de personnage Groupe: Humain Inventaire: Rang:
Ahjir
Lun 11 Juil - 20:36
Family
avec Aono
Aujourd’hui, j’ai réussi à convaincre Aono de venir avec moi dans un centre en Russie. J’ai eu du mal à la convaincre, elle m’avait expliqué que nous ne pourrons pas avoir d’enfant de manière conventionnelle. Sur le coup, je ne savais pas comment le prendre. Me disait-elle cela, car elle ne voulait pas d’enfant ou parce que c’était la vérité ? Au final, j’ai joué avec mes contacts pour savoir si ses dires sont vrais ou faux, je sais que c’est payer cher pour quelques mots, mais je craignais que si je demande à Pakkun ou à Luna, ils ne me répondent par un mensonge. C’est stupide vu qu’ils sont mes amis, mais j’ai peur. Peur de ne pouvoir la rendre heureuse et de les protéger.
J’ai dit à Aono qu’il existe un centre clandestin qui fait des expériences sur les goules pour mieux comprendre leur aptitude. Certains de mes contacts m’ont dit que les chercheurs de ce centre avaient trouvé un moyen d’inhiber certaines particularités des goules. Je pense que ce sont ces messages qui ont convaincu Aono d’y aller. Je commence à préparer les bagages en y mettant des tenues d’hiver.
À ce moment, nous sommes au niveau de l’aéroport, j’ai garé la voiture dans le parc à voitures, j’ai laissé Aono prend Kaito dans ses bras, on n’allait pas le laisser seul ou dans les mains de l’ours, même si j’ai pleinement confiance en lui. Je prends nos valises pour se diriger vers le bâtiment, je regarde Aono en souriant.
-Prête pour voir si nous pouvons avoir un autre enfant ?
J’essaye d’être le plus rassurant possible, mais j’ai horreur des avions. Je serre mes mains qui sont sur nos bagages pour me redonner de la force, ce qui est totalement inutile vu que je sais que sans Aono, je vais être dans un coin de l’avion à vomir.J’entre dans l’aéroport pour me diriger vers les guichets, je règle tous les détails qu’ils soient financiers ou autres. Je rejoins Aono avec nos billets, je mets au niveau de Kaito et je commence à agiter mes mains.
-Maman, papa et toi allez aller dans un pays où il neige souvent, tu vas voir, la neige, c’est beau.
Je ne sais pas s'il a compris, mais il sourit et tape des mains, cela me fait sourire. Je regarde Aono dans les yeux en prolongeant mon sourire.
-Même si l'on n'y arrive pas, on aura fait un super voyage.
Je ne pensais toujours pas au fait que j'avais accepté de suivre Kelvin dans cette histoire. Il y a encore de cela plusieurs année, si l'on m'avait dit que j'aurais déjà un enfant venant de quelqu'un d'autre, je l'aurais pris pour un malade ! Mais alors un enfant venant de moi en plus d'un qui appartient de base à quelqu'un d'autre, c'était presque difficile à croire ! Enfin, normalement, nous n'aurons jamais pu avoir d'enfant à la base. Une mère humaine peut éventuellement avoir un enfant d'un homme goule si elle mange de la vianda humaine, comme une goule... Mais une femme goule digèrera rapidement l'embryons créé avec un homme humain, l'organisme de la mère le prenant pour de la nourriture. Mais il semblait tellement en vouloir un ... C'était étrange de le voir chercher une solution un peu de chaque côtés sans que je ne sache vraiment comment réagir.
Et d'ailleurs, il m'avait fallut un bon moment pour me rendre compte de ce qu'il disait ; un centre clandestin ?! Sur le coup, j'étais abasourdie. De tels centres n'étaient pas étonnants mais ce qui l'était, c'était de voir qu'il était près à aller jusque là ! Après un bon moment de réflexion, j'ai finis par accepter ... Et nous voilà à l'aéroport pour aller jusqu'en Russie voir si ce centre connait un moyen pour que nous puissions avoir un enfant. Je tenais Kaito dans mes bras, observant chaque panneaux tandis que le petit découvrait ce nouveau lieu, remplis d'humain marchant dans tous les sens. Je finis par hocher la tête à Kelvin quand il me dit qu'il va chercher les billets pendant que je surveillais nos affaires tout en vérifiant que j'avais bien tout ce qu'il fallait pour Kaito. Heureusement oui !
Je regarde mon cher compagnon revenir pour parler à Kaito et ça m'amusait beaucoup de les voir ainsi. Ah ben, il semble content de partir , à savoir si il comprend où l'on va ... Mais je suis persuadée que ça lui plaira ; il a déjà connu la neige, pas autant qu'en Russie, mais il l'a connu. C'était un plaisir et ça le faisait sourire même si il était vraiment tout petit, né depuis peu. Je finis par renvoyer un sourire à Kelvin tout en remontant doucement Kaito afin qu'il soit bien mit dans mes bras.
- C'est sûr. Ca nous fera des vacances d'être un peu à l'écart de Tokyo.
Doucement, nous nous sommes dirigé au contrôle des bagages avant de se rendre dans l'avions où je m'étais posée près de la fenêtre, mettant le petit entre son papa et moi. Il semblait parfaitement détendu et heureux... euh... pas comme Kelvin semblait bien nerveux d'après moi. Depuis tout l'heure, il semble essayer de se rassurer tout seul. Sourire aux lèvre, je place ma main sur la sienne en prenant une voix calme et rassurante.
-Ca va aller... Pas besoin d'être aussi nerveux. Tu vas voir les avions c'est cool ! Je continue de lui sourire avant de placer le sac correctement. -Enfin, quand tout va bien et qu'il ne risque pas de se cracher ... ajoutais-je pour l'embêter un peu, même si il sait que je plaisante et qu'il peut avoir confiance.
Messages : 53 Date d'inscription : 08/05/2016
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Ahjir
Mer 13 Juil - 16:22
Family
avec Aono
Je vois ma compagne sourire en confirmant que cela nous fera des vacances d’être loin de toute cette folie qui gangrène la ville. On se dirige tranquillement vers les contrôles de bagages, contrairement à Aono, je dois passer aux détecteurs de métaux, en même temps ma tenue peut faire croire que je suis armé, ce qui est le cas en temps normal, mais là non. Je vide mes poches et place tout ce qui est métallique et électronique dans un bac et je passe, la personne de la sécurité me dit en souriant de reprendre mes affaires, ce que je fais avant de rejoindre ma famille.
Le moment fatidique arrive, il faut prendre l’avion, encore. Je reste avec Aono et Kaito, on rejoint nos places, Aono a la place à côté de la fenêtre et Kaito est entre nous, le petit semble heureux, moi par contre, je regarde dans l’avion pour savoir où se situent les parachutes. Je commence à marmonner que je ne dois pas m’en faire et ma douce semble l’avoir entendu, elle place sa main sur la mienne, je lève les yeux pour voir son souris et d’une voix calme, elle essaye de me rassurer avant de me taquiner. Je lui tire la langue avant de lui faire un bisou sur le front.
-Je serai fort, pour vous deux.
Je me remets confortablement sur mon siège avant de regarder. Kaito en souriant. C’est étrange, mais je ne me sens pas mal, habituellement je serais déjà en train de vomir mes tripes, alors que là, n'est-ce pas. Je prends mes aises pour m’endormir.
Je dors la plupart du temps, enfin je crois. Je sens une odeur bizarre, une odeur de sang. Je me réveille difficilement, j’ouvre les yeux et je vois un charnier de cadavre, je me lève puis je regarde où était Aono et. Kaito, mais rien, personne. Je commence à perdre son sang-froid, je regarde partout et j’entends les pleure de Kaito, je m’avance vers les pleurs. Je trouve Kaito dans une mare de sang, je le prends dans mes bras.
-Allez, tout va bien, papa est là.
Je le sens se tenir à moi, je regarde la provenance du sang et je tombe à la renverse.
-AONO !
Je vois Aono, une quinque planté dans son cours, je ne connais que trop bien cette arme.
-Il est temps de mourir…CREVE.
Je sens un violent coup sur mon front.
Je me réveille en sursautant, j’effraie beaucoup de monde, les stewards viennent me voir pour comprendre ce qu’ils se passent, je suis en sueur, mon souffle est rapide. Je me lève pour m’excuser de la gêne, cela se voit que j’ai eu un cauchemar, les autres passagers retournent à leurs occupations et moi, je me rassois puis je regarde Kaito dormir, tout cela n’était qu’un cauchemar. Je regarde Aono et je m’approche discrètement pour lui chuchoter.
-Aono, tu as tes yeux qui sont passés écarlates, j’arrive à les voir avec le reflet de la vitre, ce n’est pas trop visible, mais prenons aucun risque.
Je baisse le rideau de la vitre puis je dépose un baiser sur la joue d’Aono, je rejoins les toilettes, pour aller faire la vidange et passe un coup d’eau sur le visage. Je préfère avoir la tête dans un sac à vomi plutôt que de faire un cauchemar ou celle que j’aime meurt de sa main…
Je finis tout cela et je rejoins ma place, il reste qu’une demi-heure avant d’arriver à Moscou, je sais déjà où l'on va dormir, en espérant que j’ai toujours accès à mes pièces. Je me rassois et regarde ma famille, je les regarde en souriant.
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Lun 11 Juil - 20:36