Pakkun mesure 1m85 pour 90 kilos, composés en majorité de muscle. Il à les cheveux châtains avec les mèches de devant tenant en l'air grâce au gel, il à des yeux bleus accompagnés d'une paire de lunettes à carreaux rectangulaires et aux branches noires et fines nécessaires à la correction de sa myopie. Il a son bras droit couvert de brûlures au 3° degré de l'épaule à son poignet, il porte une montre à cet endroit la pour essayer de cacher ses brûlures. Il à du mal à s'en servir aussi sur une longue période ayant été fragilisé dans le passé. Son torse est aussi couvert de traces de coup et de fouet, il y a aussi de nombreuses brûlures à cet endroit et aussi dans le dos.
Pour ce qui est de son style vestimentaire Pakkun quand il travaille porte un costume noir avec une chemise blanche et une cravate rouge. Quand il ne travaille pas il préfère mettre une tenue plus chaude, un peu plus large se composant d'un t-shirt à manches longues, d'une grosse veste noire qu'il peut porter aussi au travail même si c'est pas aussi souvent qu'il le voudrait et un pantalon noir avec pas mal de poches.
Il pratique régulièrement du sport : boxe, judo et musculation. Il à aussi pris des cours de self défense et de tir où il à obtenu un bon niveau. Ce qui lui permet de se défendre correctement au corps à corps contre d'autres personnes même avec un physique plus imposant.
Mais il manque d'endurance ce qui l'oblige à raccourcir les combats s’il y en a un, cela le gêne car lors des efforts importants il est handicapé par cela.
Pakkun à une double nationalité : Franco-Japonais, il parle couramment français, japonais, anglais et à quelques notions d'espagnol. Il est typé Européen, par sa mère à qui il ressemble beaucoup et qu'il aime énormément.
Pakkun ne pense pas comme les autres inspecteurs que les goules sont juste bonnes à tuer. Il pense qu’elles sont capables de réfléchir, de penser, de vivre comme un être humain normal. La seule différence se situe au niveau de leur régime alimentaire composé de chair humaine. Pakkun est souvent seul toute la journée, ne voulant pas être avec les autres. Il n’aime pas être en groupe surtout qu’il a du mal à parler avec les autres, étant refermé sur lui-même. Il est aussi impulsif ne voulant pas parler de certains sujets même en insistant ce qui l’énerve encore plus et peut le rendre violent en frappant son interlocuteur. Il est curieux et fouille partout jusqu’à trouver l’information qu’il voulait. Il est souvent entouré de livre avec son ordinateur allumé pas loin.
On dit souvent de lui que c’est une personne intelligente, cultivée, curieuse, travailleuse mais qui a des défauts qui sont assez gênants. Il n’apprécie pas travailler pour le CGG ou c’est uniquement une « bande de barbares » comme il le dit assez souvent. Il aurait préféré pouvoir partir et aider les goules à leur échapper. Ce qui énerve ses supérieurs et les poussent à lui rappeler les différentes règles à respecter.
Il à beaucoup apprécié sa scolarité car il à rencontré des professeurs qui acceptèrent de répondre à ses questions quitte à approfondir leurs cours. Il aimait beaucoup moins les élèves de sa classe, toujours à poser des questions et à essayer de le pousser à bout pour l'énerver car il était le "chouchou" des différents professeurs, celui qui avait les meilleures notes et qu'on félicitait en permanence. A son école les professeurs et la direction étaient tellement stupéfaits de ses connaissances qu'il eut rapidement son diplôme d'ingénieur informatique.
Pakkun est aussi un grand gourmand malgré qu'il le montre très peu. Il est toujours du genre à avoir à manger sur son bureau ou dans son sac.
Chapitre 1 : Enfance.
Pakkun n’a pas connu son père biologique pour différentes raisons que sa mère n’eut pas trop envie de développer. Donc elle dut l’élever seule, ce qui causa quelques problèmes mais sans trop grande importance. Au fur et à mesures des années qui passèrent sa mère décida de retourner au Japon là où elle a connu le père de Pakkun. Elle était française, elle se nommait Laure, elle trouva un travail sur place et elle avait trouvé une personne qu’elle fréquentait et qu’elle commençait à beaucoup apprécier. Elle déposait Pakkun à l’école, travaillait et une fois sa journée finie, elle passait du temps avec lui. Lui s’appelait Gendô, inspecteur en chef du CCG connu pour sa grande cruauté et la pression qu’il exerçait sur les hommes sous sa direction. Il avait aussi reçu un héritage de la part de ses parents ce qui lui assurait des économies confortables s’il avait la chance de survivre.
Laure amena Pakkun lors d’un des rendez-vous pour voir comment il allait l’apprécier, le courant passant bien au fur et à mesure des rendez-vous, elle décida d’emménager avec lui. Pakkun travaillait bien à l’école, il eut plusieurs remarques de ses professeurs positives sur son travail, ce qui plaisait à Gendô. Il était assez sévère au niveau du travail scolaire et du comportement, Pakkun s’étant déjà fait reprendre plusieurs fois par Gendô qui n’osait pas élever le son en accord avec Laure. Parfois sa mère devait partir un peu partout dans le Japon et en Europe dans le cadre de son travail, Pakkun venait à l’aéroport avec Gendô pour dire en revoir à sa mère qui à chaque fois lui amenait une surprise et qui lui disait de bien travailler à l’école. Puis il lui faisait un bisou sur sa joue et quand il était sur le point de ne plus la voir, il agitait sa main pour lui dire au revoir.
Mais pendant ce temps la Gendô n’hésitait pas à être plus sévère avec lui au point de le frapper puis de l’enfermer dans sa chambre pendant plusieurs heures sans possibilité de sortir. En plus il était toujours occupé à rédiger ses rapports à appeler ses collègues où ses supérieurs ce qui l’énervait. Pakkun ne l’appréciait pas pendant ses moments-là, toujours à le regarder, à l’observer d’un air méchant, colérique. Au retour de sa mère même si elle voyait les marques elle ne disait rien, posait juste deux-trois questions sans vraiment demander d’où venaient les marques. Puis à un moment sa mère devait partir six mois en Europe, en le laissant seul avec Gendô qui venait tout juste d’avoir une promotion et était passé inspecteur adjoint de classe spéciale. Pakkun était au collège à ce moment-là et Gendô en profitait pour le frapper avec une ceinture, un fouet ou autre sous prétexte qu’il devait encore mieux travailler. Puis il s’amusait à tester les réactions de la peau humaine avec de l’acide, il le faisait avec les goules, alors pourquoi pas avec les humains … ? Et il s’amusait à le traîner dans la cave pour le battre encore plus. Au bout de peu de temps il fut couvert de marques, incapable d’aller en cours. Il le subissait tous les soirs ou presque, il en était arrivé à souhaiter sa mort.
Et ce jour arriva, c’était un soir d’été où deux inspecteurs était en face de lui alors qu’il ouvrait, ils lui expliquaient qu’il était mort en service. Et qu’il fallait qu’il suive les inspecteurs, sauf qu’il ne se sentait pas rassuré et en voyant une ouverture il tenta de s’enfuir. Il jetait de rapides coups d’œil derrière lui en courant le plus vite possible, mais c’est son cœur, fragilisé qui s’arrêta et les deux inspecteurs se précipitaient sur lui. Il rouvrit les yeux à l’hôpital. Il peinait à ouvrir les yeux mais quand au bout de quelques jours il fut pleinement réveillé, on lui expliqua tout ce qui c’était passé et que la police allait lui poser deux-trois questions.
Quelques jours plus tard ils étaient venus et ils lui posèrent quelques questions sur sa mère, Gendô et comment cela se passait à la maison, malheureusement pour lui, il dût dire la vérité et après ceci il dût signer un papier et ils étaient partis. Le docteur lui expliquait qu’il allait devoir recevoir une rééducation pour son bras droit et qu’il allait devoir faire des tests avec un cardiologue pour voir les dégâts et lui proposer un traitement adapté. Au bout de quelques semaines il avait suffisamment récupéré pour qu’il puisse recevoir des cours à son niveau même en étant à l’hôpital. Le professeur qui s’occupait de lui était sérieux, gentil et il répondait volontiers à ses questions. Mais il était plus renfermé sur lui-même, beaucoup plus froid en vers les autres et moins sociable. Il avait aussi perdu de l’endurance son cœur ne supportant plus les efforts prolongés. L’équipe médicale jugea que ce n’était pas de gros problèmes et qu’il pouvait encore être avec les autres normalement.
Chapitre 2 : Prison
« Vous lui avez fait passer les tests ?
-Oui ! Monsieur, il s’en sort très bien, par contre nous avons quelques problèmes …
-Des problèmes ? Comment ça ! C’est un excellent élément futur au sein du CCG ! Nous avons besoin de lui !
-Mais monsieur pour lui les goules sont des créatures qui méritent de vivre parmi nous ! Il pense qu’il faut les laisser en vie !
-Comment ! … De toute façon il n’aura pas le choix, le directeur le veut, un point c’est tout. … … Cette discussion est close !
- ... Bien monsieur je complète le dossier ! »
Pour son « bien » on l’avait placé dans l’un des orphelinats du CCG, Gendô s’occupant de lui officiellement et sa mère n’étant plus en état de s’occuper de lui. Elle lui avait offert un ourson blanc et un ordinateur pour sa sortie d’hôpital avec une carte qu’il conserve précieusement. Il changea de collège pour en aller dans un autre reconnu pour la qualité des cours proposées et des professeurs , mais Pakkun à cause de certains médicaments qui le fatiguaient assez rapidement avait un emploi du temps adapté avec un professeur qui venait quelques heures par semaine à l’orphelinat. Le professeur avait travaillé un temps en tant que scientifique pour la CCG, puis il avait arrêté pour devenir professeur. Mais c’était sa seule « liberté » car ils lui avaient fait comprendre qu’il avait un certain talent et qu’ils en avaient besoin.
Cela se confirma au lycée où il pouvait faire autant de tests et s’entraîner autant qu’il voulait avec l’aide de très bons professeurs qui n’hésitaient pas à lui en apprendre plus … Il avait appris comment pirater pas mal de trucs, faire un système d’alarme avec des caméras de surveillance, faire un bon poste radio pour communiquer avec d’autres personnes (dans le cadre d’une opération par exemple) et tout un tas de choses. Il faisait pas mal de sport seul, ou avec certains agents qui les entraînaient tous ensemble. La plus part de ceux qui étaient dans l’orphelinat avaient une haine implacable contre les goules qui leur avaient tué un ou plusieurs membre de leur famille.
Ils suivaient les entraînements de manière consciencieuse et appliquée. Ils s’amusaient à le frapper, à l’insulter, à l’humilier pour son avis et comment il a atterrit ici. Après son lycée on l’avait obligé à suivre une formation d’inspecteur, car il pouvait dans des cas spéciaux aller sur le terrain, il choisit de prendre la formation de trois ans en alternance avec ses études d’ingénieur. Au bout de quatre ans il valida son diplôme d’ingénieur et son grade d’inspecteur de deuxième classe. Il fut convoqué dans un QG de la CCG où on lui expliqua avec qui il allait travailler, comment et où. Sans grand entrain il signa le papier où on l’obligeait de travailler pour eux. Et c’est ainsi qu’il commença sans grand espoir de pouvoir changer.
« Monsieur, il a signé, il accepte.
-Bien, enfin, je vais en informer le directeur. Il a été placé dans une équipe ?
-Oui ! Il commence déjà !
-Parfait, vous pouvez disposer, je m’occupe de finir ce dossier. Je ne savais pas que Gendô pouvait faire autre chose que démembrer des goules…
Un peu plus tard …
-Monsieur le directeur, c’est fait il a été recruté, son dossier est complet.
-Bien, enfin cela fait longtemps que nous attendions ce moment, il faudra prévoir une surveillance…
-Cela sera mis en place dès que possible. … Mais monsieur le directeur …
-Oui ?
-Pourquoi avoir pris lui, j’ai déjà assisté à un entretien et pour lui nous sommes que des chiens, tuant sans once d’humanité, il est impulsif, violent et absolument pas fait pour le travail d’équipe.
-Vous doutez de ses capacités ou de mes choix ?
-Non monsieur mai…
-Il à passé les tests comme tout le monde et il a fini premier. Nous devons nous débarrasser de cette vermine qui grouille dans Tokyo, dans le Japon … Que dis-je le monde entier ! Et chaque atout dans notre manche nous aide à atteindre cet objectif ! Faites le tourner pour nos différentes escouades, mes supérieurs veulent des résultats.
-Bien monsieur, j’exécuterais vos désistions, au revoir.
-Au revoir. Oh ! Et j'ai une chose à ajouter ... Ne jamais douter de certaines "capacités" de Gendô. »
Peu après ceci il accompli différentes missions, dont certaines assez dangereuses, ce qui lui à valu le droit de posséder sa propre qunique, d'avoir une promotion et d'accepter plus les missions de combat.
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Mer 11 Mai - 6:28
